Sujet: Put that f*cking smile on my face, I said. Ven 25 Avr - 17:55
Halldórsson Nataníel (feat. Kåre Hedebrant)
Dvalin / Poursuiveur – Rédacteur en chef du journal
Infos de base : Nom : Halldórsson Prénom(s) : Nataníel Ebbi Surnom(s) : Nat, Natti. Date et lieu de naissance : 13 février 1995 à Reykjavík, Islande Nationalité : Islandais Statut du sang : Sang pur Année d'étude : Sixième Club(s) : Journalisme
Détails : Patronus : N’est pas capable d’en produire un Baguette : Bois de houx et ventricule de cœur de dragon, vingt-sept centimètres cinq Epouvantard : Vide, abandon Amortentia : Odeurs de caramel, d’herbe mouillée et une vague effluve de poisson Balai : Nimbus 2018 Options : Occlumantie, Alchimie et Gobelbabil
Caractère
Quel est le premier mot qui vous vient à l'esprit quand on vous demande de vous décrire, et pourquoi ?
Collant. Je m’explique. Je sais très bien que j’ai tendance à demander trop aux autres. J’ai un constant besoin d’attention, je sais pas, ça doit venir de mon enfance, et à vrai dire j’ai pas trop envie d’aller voir un psy pour le savoir. Je sais juste que je suis pot-de-colle et qu’on me trouve partout, même quand on me veut pas. Quelque part, c’est pratique pour le journal, parce que du coup, je connais pas mal de monde. Et comme j’ai pas peur de causer à tort et à travers, ni de m’incruster à droite à gauche, j’ai réussi à écrire un monceau d’articles. C’est grâce à ça que j’ai obtenu le poste de rédacteur en chef d’ailleurs ! Et j’en suis fier.
Par contre, si on m’envoie chier, c’est pas dit que je revienne de mon plein gré. J’ai un ego un peu gonflé, et donner un coup dedans ça me fait fuir.
Votre baguette est votre meilleure alliée, racontez-nous le moment où vous l'avez obtenue ?
J’ai été l’acheter chez Gregorovitch. Mes parents m’avaient laissé une bourse pour aller faire mes courses pour la rentrée, et jusque-là j’utilisais les vieilles baguette-jouets. Si, vous savez, celles qu’on peut pratiquement rien faire avec à part emmerder le monde avec des bruits affreux de moteur d’une de ces machines volantes moldues. J’y suis allé le matin par le Réseau des Cheminées, et le vendeur m’a fait essayer des baguettes. J’en ai essayé une en bois de sapin, et elle a sauté de mes mains, elle a failli me crever un œil ! Quand j’ai pris la seconde, en bois de houx, j’ai eu l’impression de plonger dans un bain chaud avec plein de mousse. C’était la bonne. J’ai payé mes 7 Gallions et je suis parti sans même la ranger dans sa boîte, directement dans la poche.
Tout le monde a peur de quelque chose, et vous ?
Si on exclut ces saletés de scolopendres que j’ai cru faire une crise cardiaque en en trouvant un sous mon lit pendant un voyage à Cadix, j’ai peur d’être seul. Quand j’ai été confronté pour la première fois à un Epouvantard, tous les gens autour de moi ont disparu, il n’y avait plus personne dans la salle, alors qu’ils étaient tous là l’instant d’avant. J’ai appelé, j’ai crié, j’ai fini par me rouler en boule au sol, en pleurant. Oh j’en ai entendu parler pendant des semaines, de celle-là.
Mais je veux plus qu’on me laisse derrière.
Jetez donc un œil à la liste des enseignements de l'institut, qu'est-ce qui vous inspire immédiatement, et pourquoi ?
L’Occlumantie. J’arrive facilement à savoir ce que les autres veulent, et c’est tant mieux. Mais j’aime bien, non, je tente avec plus ou moins de succès, de tout cacher de moi. Je suis un peu ridicule et niais comme gars, en vrai. Je préfère avoir l’air du gars gentil, facile à vivre, qui se fait jamais de soucis et qui raconte des potins sans intérêt. Comme ça, on s’apitoie pas sur moi, et j’ai pas besoin d’en dire plus.
Savez-vous voler ?
Dans quel sens du terme ?
Bon oui, avec un balai bien sûr. Je vole plutôt bien, sans vouloir me vanter. Je suis léger comme une plume, alors j’y gagne en vitesse. Et l’adrénaline qu’on ressent quand on fonce sur un morceau de bois à travers champs, ça n’a pas de prix.
Quelle est la créature fantastique que vous trouvez la plus intéressante ?
Les Vélanes. Je me demande comment fonctionne le sortilège qui attire les hommes à elles. J’aimerais bien côtoyer quelqu’un qui aurait du sang de Vélane pour lui poser des questions. C’est pas très très gentil de poser des questions comme ça d’ailleurs, mais je suis curieux. Puis j’aimerais bien en voir une en vrai, et la voir en colère aussi.
Selon vous, quelle est la chose la plus importante au monde ?
L’amour. Le vrai. Celui avec un grand A et des enluminures, des fioritures et des petites fleurs. J’avais prévenu que j’étais niais, mais ça c’est faible comme mot. Je rêve qu’à ça. Mais en attendant je me noie dans l’amour physique, tant que mon cœur n’aura pas trouvé preneur, ou preneuse.
A quoi pensez-vous en vous levant le matin ?
Au petit-déjeuner. J’ai faim, tout le temps. Je mange beaucoup trop. Mais c’est comme si j’avais un trou noir à la place de l’estomac. Peut-être que je compense, je sais pas. La bouffe c’est juste un des meilleurs trucs qu’on ait inventé non ?
Physique
Nataníel a un physique plutôt commun pour un garçon de son âge. Blond platine, il a les cheveux les plus bordéliques qu’on puisse imaginer, pour la simple et bonne raison que lui, le peigne, il connaît pas. De grands yeux bleus, un nez en pointe et un sourire jusqu’aux oreilles, c’est ce qu’on retient de son visage. Son sourire, il est toujours planté sur sa face, qu’il soit sincère ou hypocrite.
Son corps est étonnament mince pour quelqu’un qui s’empiffre autant. Il a une bonne composition, et bouge sans arrêt. C’est rare en fait, de le voir immobile, c’est sûrement qu’il mange en fait. Sportif, il a les bras un peu développés, mais il fait plutôt partie de la catégorie rachitique, à l’exception de son postérieur rond et ses joues pleines. Blanc comme un cul de non-nudiste, il prend facilement des coups de soleil, et marque très, très vite.
Witchcraft:
Histoire
Ca commence le 13 février d’il y a 19 ans. Un jour pluvieux à Reykjavik, et une naissance de plus au domicile du couple que forment Halldór et Pálina. La quatrième et dernière. Une nouvelle petite tête blonde pour marcher à la suite des trois autres, déjà âgés de 12, 9 et 6 ans. Des enfants déjà grands, qui d‘abord s‘extasient sur le nourrisson, et au fil des années, s‘en détournent.
Le petit Nataníel suit avec attention tout ce qu‘il se passe autour de lui. Il se souvient de son premier cours de natation, avec les copains à la maternelle. Toute son éducation, jusqu‘à ses 14 ans, se fait chez les moldus. Le principal soucis ? Se débarrasser des mômes la journée. Nataníel doit faire attention à ne pas user de magie devant ses petits camarades, mais il ne fait pas exprès. Alors on dit qu‘il est bizarre, tout simplement.
Nataníel joue tout seul à la maison. Il est couvert de jouets qu‘il réclame à tours de bras. Encore et toujours plus, jusqu‘à ne plus savoir qu‘en faire. Un jouet c‘est bien, mais tout seul ça craint. Il veut se faire des amis Nataníel, mais à l‘école c‘est juste le garçon bizarre. Alors il s‘ennuie.
Puis arrive la lettre, pour l‘entrée à l‘institut. Tout fier, il sautille dans toute la baraque, en montrant sa lettre à tout le monde. Mais cette lettre là est déjà arrivée trois fois avant, rien de nouveau, rien d‘excitant. On l‘accompagne même pas faire ses courses de rentrée, lui qui attend ça depuis des années. Il y va tout seul, et s‘enferme pour étudier, avec les énormes boîtes de bonbons qu‘il s‘est acheté en plus.
A la rentrée, il décide que c‘est fini, d‘être tout seul. Alors Nataníel sourit, fait le clown, joue les garçons gentils et serviables. Nataníel veut être aimé, il fait tout pour. Tout.
Le joueur
Pseudo : Macarousse Âge : 20 ans Comment avez-vous découvert le forum ? : Bonne question. Des suggestions ? : Pouet. Code : Les Schtroumpfs Haribo.
Dernière édition par Nataníel Halldórsson le Ven 25 Avr - 20:01, édité 1 fois